Jean Claude
Gonnet a développé le concept
SWISSBOS dans le but de permettre aux entreprises de mieux contrôler et gérer
leur exploitation commerciale dans un contexte régional précis.
Cette méthode
innovante vise à impulser hors des frontières suisses, notamment dans les
marchés du nord, tels que l'Union européenne, les États-Unis, le Japon ou le
Canada, mais aussi vers les marchés des pays dits « émergents » comme
la Chine, la Russie ou le Brésil, un secteur industriel déterminé. Jean
Claude Gonnet ayant pris la nationalité suisse et fait de ce pays le siège
financier d'où il amorce de nombreux projets et investissements, le Quartz de
Courvieux en particulier, les décisionnaires du projet SWISSBOS ont choisi la
commune de Martigny, en pays helvète, pour débuter le programme.
Les dirigeants de
SWISSBOS, dont fait partie Jean Claude Gonnet, aspirent à un lien
professionnel privilégié avec la Chine, suite notamment à l'annonce, dans la
presse nationale, d'un accord de libre-échange entre cette dernière et la Suisse.
Ce nouveau partenariat permettrait en effet de voir la conjoncture économique entre
les deux pays fortement stimulée et dynamisée, la Chine étant le troisième
allié économique du pays helvète.
Présent à
l'inauguration de ce projet avec son homologue suisse, le Premier ministre
chinois, Li Kegiand, alors en visite officielle, a annoncé qu'il souhaitait que
ce nouvel accord puisse également s'apprécier à l'extérieur de la Suisse, dans
l’ensemble de l’Europe. L'entente commerciale entre la Chine et la Suisse porte
actuellement en majorité sur l'import-export de médicaments, de produits
laitiers, de montres et textiles, pour un montant global de 26 milliards de
dollars.
Au cours de cette
cérémonie d'inauguration, le président suisse, Ueli Maurer, parlait du nouvel arrangement
entre les deux pays comme d'un « véritable jalon » dans leur
dynamisme économique. Le Premier ministre chinois évoquait, quant à lui,
« une énorme signification pour le libre-échange global » puisqu'il
s'agit là du premier accord de ce type entre la Chine et la Suisse, qui sont
deux des vingt plus grandes puissances économiques au monde, et plus largement,
entre l'Europe et l'Asie.
En passant un
accord de libre-échange avec le pays helvète, la Chine, après les États-Unis et
l'Union Européenne, favorise donc la Suisse, dont l'économie est prospère grâce
au sens des affaires aiguisé de ses grands patrons, parmi lesquels Jean
Claude Gonnet. Les principaux hommes d'affaires du secteur économique
suisse, dont Jean Claude Gonnet lui-même, ont donc profité de cet
arrangement pour maximaliser la productivité des relations professionnelles sur
un marché sino-suisse qui n'a de cesse de se développer. Grâce à la méthode
SWISSBOS qui vise à standardiser et à améliorer la qualité des services aux entrepreneurs
de nationalité étrangère établis en Suisse, Jean Claude Gonnet espère développer
un environnement de travail unique, favorable à une entente encore meilleure avec
ses partenaires économiques.